TEXTE INTERESANT A ETUDIER SUR LE XVIII° SIECLE ET
L’EVOLUTION DE CE SITE HISTORIQUE (Brouage pour concurrencer La Rochelle)
DOCUMENT 22 PAGES FAISANT PARTIE DE LA CONNAISSANCE DE
L’HISTOIRE DE HIERS BROUGE (et de BROUAGE)
période XVIII° ET XIX° SIECLES
MOTS CLES
BROUAGE / HIERS CHARENTE MARITIME
TERRAINS / PRIS SUR LA MER
MARECHALDE RICHELIEU / DU DE RICHELIEU 1774
MARION DE LA BRILLANTAIS
PROPRIETAITRES PRECEDENTS
EXPOSE / SITUATION 1774/ DUC DE RICHELIEU
DESCRIPTION
ANNEE 1837
FORMAT 17.5 CM X 25 CM
A ETE PLIE
TEXTE SU 22 PAGES MANUSCRITES ENLIASSEES PAR UN LIEN EN FIL
SUR PAPIER AVEC CACHETS FISCAUX (papier timbré)
ECRITURE FINE BIEN LISIBLE
SIGNATURE ET MENTION D ENRGISTREMENT
DOCUMENT EN BONNE CONDITION ET TRES FRAIS
LONG EXPOSE D UNE PROCEDURE IMPLIQUANT
MR MARION DE LA BRILLANTAIS ET SA FILLE
DEMEURANT A PARIS RUE BELLEFOND
ET
DIVERS PROPRIETAIRES DEMEURANT à HIERS BROUAGE
CONTESTATION SUR LA PROPRIETE D UNE
« assez grande étendue de terrain formés autrefois
par le retrait des eaux de la mer et les atterrissements
du havre de Brouage,"
(terrains situés à Hiers Brouage°)
IL EST QUESTION DU « MARECHAL DE RICHELIEU » cité dans le document proposé
EN FAIT C'EST LE DUC DE RICHELIEU / VOIR HISTORIQUE cité ci après en fn de DESCRIPTION
AYANT PRESENTE UNE REQUETTE AU ROI EN 1774 POUR OBTENIR
LA CONCESSION DES LAIS DE MER ET ATTERISSEMENTS DE LA MER
ET IL EST QUESTION EGALEMENT DES TEXTES AYANT DEFINI LES
CONDITIONS DE CES DIFFeRENTES AUTORISATIONS
VOIR HISTORIQUE CITEE CI APRES EN FIN DE DESCRIPTION
TEXTE INTERESANT A ETUDIER SUR LE XVIII° SIECLE ET
L’EVOLUTION DE CE SITE HISTORIQUE (Brouage pour concurrencer La Rochelle)
DOCUMENT FAISANT PARTIE DE LA CONNAISSANCE DE
L’HISTOIRE DE HIERS BROUGE (et de BROUAGE)
période XVIII° ET XIX° SIECLES
VOIR SCANS
VOIR HISTORIQUE
1/ SUR LE MARECHAL DE RICHELIEU
2/ SUR Marion De la Brillantais
3/ SUR HIERS BROUAGE
NOTA : LE DOCUMENT SERA ENVOYE NON PLIE
SOUS ENVELOPPE AVEC RENFORT CARTONNE
HISTORIQUE
1/ SUR LE MARECHAL DE RICHELIEU
SOURCES
https://www.persee.fr/docAsPDF/rgpso_0035-3221_1935_num_6_4_4191.pdf
EXTRAIT
PAGE 303
Sans doute, de Marennes à Moëze, dans toute la partie occidentale du Marais, de beaux tas de sel miroitent encore au soleil de l'été. De Chancel de Lagrange qui traverse la Saintonge en 1739 décrit autour de Brouage sur les bosses, entre les marais « une quantité prodigieuse de moulons de sels, élevés en petites montagnes couvertes de pailles, crainte de la pluye » 79. Et même, vers la mer, on construit, sur les lais de mer, de nouveaux marais salants : le duc de Richelieu obtient en 1779 la concession des lais de mer entre la Seudre et Brouage et il entreprend de faire valoir ces terres nouvelles par leur mise en culture ou leur aménagement en marais salants m. Les salines, avec le recul de la mer, continuent à se déplacer vers l'Ouest...
HISTORIQUE
2/ SUR LE SIEUR MARION DE LA BRILLANTAIS
VOIR
https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis-Marie_Marion-Brillantais
Louis-Marie Marion-Brillantais
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Marion-Brillantais
Biographie
Naissance 2 mai 1743
Saint-Malo
Décès Date inconnue
Activités Marchand, armateur, négrier, constructeur de bateau
Louis-Marie Marion de la Brillantais dit Marion-Brillantais, né le 2 mai 1743 à Saint-Malo1 et mort à une date inconnue, est un négociant français. Il est un des plus importants négociants de Saint-Malo au xviiie siècle, à la fois propriétaire forestier et portuaire, négociant en bois ce qui lui permettait d'être l'un des premiers fournisseurs de bois de construction pour la marine royale. Dans les années 1770, il devint aussi constructeur naval, armateur et pilier de la traite négrière.
Biographie[modifier | modifier le code]
Louis-Marie Marion est le fils de Robert Michel Marion (1697-1761) originaire de Quettehou, près de Saint-Vaast-la-Hougue dans le Cotentin. Il commence à armer des navires en 17772 . Il a armé 11 navires de traite négrière. Ses chalands couverts de bois arrivaient au « Pas au Bœuf », sur la rive bretonne du Couesnon, un port où s'opérait le chargement de bois de construction pour la marine royale.
Louis-Marie Marion est associé en affaires avec le baron Claude Baudard de Saint-James, trésorier général de la Marine. Au début de 1782, alors qu'il exploite les forêts de Paray-le-Monial3, il rachète pour six ans le droit d'exploiter des forêts en Auvergne4 pour approvisionner la Marine5.
Durant la guerre d'indépendance des États-Unis, il arme en 1781 la Duchesse-de-Polignac, l'un des plus gros navires corsaires français avec 450 tonneaux6.
Avec le capitaine Jean-François Landolphe, il fonde la société coloniale philanthropique d'Ouère en Afrique7 à laquelle Louis XVI accorde le privilège exclusif du commerce sur les fleuves Forcados et Bénin, en leur offrant le Pérou, vaisseau de 400 tonneaux, et deux corvettes, L'Afrique et la Jeune Charlotte, destinées à remonter les rivières pour commercer avec les peuples de l'intérieur des terres. Le prospectus prévoyait que tous les trimestres, elle expédierait au Bénin un navire de trois à quatre cents tonneaux, chargé de marchandises pour deux cent mille francs. Parmi les associés, le négociant François Hèbre de Rochefort et Marion-Brillantais en devient le premier administrateur.
Sous la Révolution, il devient un homme d'affaires parisien influent. En 1789, il est chargé de participer à une partie de l'approvisionnement en blé8. Dans l'Allier, où il possède des forêts pour la Marine, il récupère lors de la vente des biens nationaux un monastère, à la charge pour lui d'y établir une manufacture d'armes, ce qui permet de devenir « entrepreneur de la manufacture d'armes de Moulins ». Mais il doit se cacher car des dénonciations mettant en cause son civisme parviennent au comité de salut public, reprises par Joseph Fouché9. Le 13 février 1794 la Société populaire de Moulins s'en prend à lui, un mandat d'arrêt est lancé contre lui et il est accusé de n'avoir pas fait grand-chose pendant deux ans, et d'être responsable du fait qu'aucun fusil n'avait été usiné10.
Louis-Marie Marion dit de la Brillantais obtient par ordonnance royale du 28 juillet 1820 le droit de s'appeler Marion de la Brillantais, du nom d'un lieu-dit sur les bords de la Rance où est installé le Grand Parc de la Briantais.
Son fils le vicomte Louis-Marie Marion de la Brillantais, banquier à Paris, a déposé en 1835 un brevet pour une machine à raboter et couper les bois de placage au lieu de les scier qui n'eut aucun succès. Il résidait dans l'"hôtel de la Brillantais" au 37 rue de Bellefonds11.
Bibliographie[modifier | modifier le code]
• Marion de La Brillantais, Quelques observations sur l'approvisionnement des bois propres aux constructions navales sur Google Livres, 1827
HISTORIQUE
3/ SUR "HIERS BROUAGE"
VOIR
https://fr.wikipedia.org/wiki/Hiers-Brouage
Hiers-Brouage
Hiers-Brouage est une ancienne commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine). Ses habitants sont appelés les Hiersois et Hiersoises, ou les Brouageais et Brouageaises1.
e 1er janvier 2019, elle fusionne avec Marennes pour former la commune nouvelle de Marennes-Hiers-Brouage2.
Les marais et la place forte de Brouage ont été admis dans le Réseau des grands sites de France en 19893. La commune appartient également depuis 2011 au réseau « Villages de pierres et d'eau », label initié par le conseil général afin de promouvoir des sites exceptionnels présentant la particularité d'être situés au bord d'une étendue d'eau (mer, rivière, étang...)4.
La place forte de Brouage est un ancien port de commerce du sel du nom de Jacopolis sur Brouage devenu port de guerre catholique voulu par le cardinal de Richelieu qui le nommera Brouage en 1627 pour concurrencer la place forte huguenote de La Rochelle. Brouage est également considérée comme étant peut-être la commune de naissance du géographe Samuel de Champlain qui a participé à la fondation et à la colonisation de la Nouvelle-France, et qui est le fondateur de la ville de Québec au Canada.
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