Photo ancienne ,
format 18 x 12.8 cms
état de conservation dans son jus ,
usure , salissures & légers plis , trace de trombone , taches , légère ondulation , Coins et contour fatigués ,
légères marques d´album aux coins (voir scan)
Envoi : 3.10 euros pour la France , Recommandé pour l'étranger
Hassan II, appelé Moulay Hassan en tant que prince héritier (variantes : Moulay El Hassan3, Moulay Al Hassan3), il est le fils du sultan et futur roi Mohammed V et de Lalla Abla bent Tahar. Le prince reçoit, au palais royal de Fès, les premiers enseignements de la science coranique, auprès de professeurs comme Moulay Tayeb el-Alaoui[réf. nécessaire]. Il suit sa scolarité au Collège royal de Rabat où il a, durant plusieurs années, Mehdi Ben Barka comme professeur de mathématiques4. Il y obtient son baccalauréat en 19485.
Le sultan du Maroc et son fils Hassan au magasin Panhard des Champs-Élysées (1934).
Moulay Hassan suit ses études universitaires à Rabat au Centre des Hautes Études marocaines, rattaché à la faculté de Bordeaux, d’où il est licencié en droit en 19517. Il est diplômé des hautes études de droit civil de la faculté de Bordeaux en 19527. Il était étudiant en doctorat à la Faculté de droit de Bordeaux8,9 lorsqu’en août 1953 survint l’exil de sa famille8 qui dura jusque novembre 1955. Devenu roi, le 25 juin 1963 le doyen Lajugie lui remit les insignes de docteur honoris causa de l’université de Bordeaux.
Si Kaddour Benghabrit (en arabe : سي قدور بن غبريط) ou Abdelkader Ben Ghabrit1, né le 1er novembre 1868 à Sidi Bel Abbès en Algérie et mort le 24 juin 1954 à Paris, est un théologien et haut fonctionnaire algérien et marocain (la nationalité lui est donnée par le gouvernement marocain comme à d'autres Algériens résistants) qui occupe successivement des fonctions dans la magistrature en Algérie, puis diplomatique pour la France avant d'entrer, dans le cadre du protectorat, au service du sultan du Maroc.
Interprète auxiliaire à la légation de France à Tanger et haut fonctionnaire du ministère des Affaires étrangères français, il est le fondateur de l'Institut musulman de la mosquée de Paris.
Il participe à la Conférence d'Algésiras de 1906 et aux négociations aboutissant au traité de Fès de 1912. Il dirige une mission diplomatique française à La Mecque en 1916 pour faciliter le pèlerinage du Hajj et convaincre Hussein ben Ali, le chérif de La Mecque, de rompre avec l'Empire ottoman9 et de rejoindre les Alliés en échange de la reconnaissance de son califat par les musulmans malékites de l'Empire colonial français. Hussein le reçoit avec honneur et lui accorde le droit de nettoyer le sol de la Kaaba et de s'asseoir à côté de lui lors de la prière du vendredi à La Mecque.
Pendant l'Occupation, il cache et sauve des Juifs dans les sous-sols de la Grande mosquée de Paris. Avec Abdelkader Mesli, il s'engage dans la résistance et protège de nombreuses victimes, parfois estimées à plus d'un millier.